Terminus Elicius - Karine GIEBEL

Editions Pocket
Parution : 21 octobre 2011
256 pages 
Prix marseillais du polar


Ce qu'en dit l'éditeur :

Toujours le même trajet. Istres-Marseille. Marseille-Istres. Sa mère, son travail. La vie de Jeanne est en transit. Elle la contemple en passager. Une lettre suffira à faire dérailler ce train-train morose : « Vous êtes si belle, Jeanne. » Glissée entre deux banquettes, elle l’attendait. Une déclaration. D’amour. De guerre. Car l’homme de ses rêves est un monstre, un tueur sans pitié. Elle sera sa confidente, son épaule. Il sera son âme soeur, son dilemme. Le terminus de ses cauchemars…

Ce que j'en ai pensé : 

Alerte navet ! Heureusement que ce polar ne faisait que 256 pages sinon j'aurais vite lâché l'affaire !

On cumule ici tout ce que je déteste : un scénario un peu bancal, des invraisemblances, une fin capillo-tractée (d'où sort ce type défiguré qui ne fait pas partie des personnages découverts à mesure de la lecture ??? sorti du chapeau parce que l'auteur ne savait pas se sortir de l'histoire ?) et une floppée de lieux communs et de romantisme lourdingue (le beau commissaire et sa pauvre secrétaire tellement tellement fragile...).

Pourtant, j'ai commencé par y croire un peu : il y avait quelques bonnes vibrations, la psyché des personnages était bien développée (la secrétaire schizo et bourrée de TOC), un peu de suspens...
Mais c'est tout, j'ai vite décroché et j'ai même regretté que ce ne soit pas Jeanne, la secrétaire foldingue, qui soit le tueur, ça aurait eu un peu plus de peps !

Suivant ! (mais pas de cet auteur !)

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